Un vent de changement balaye l’industrie
Depuis 2020, le recours aux services financiers dématérialisés a bondi. Les consommateurs ont appris à contourner le passage en succursale. En ce qui concerne les paiements, le sans contact est devenu la norme, aujourd’hui utilisé au Québec pour 62 % des transactions.
Les Québécois sont certes nombreux à retourner vers le présentiel pour les opérations majeures (élaboration d’un plan financier, financement hypothécaire). En revanche, l’utilisation des outils en ligne pour les besoins du quotidien semble durablement ancrée dans nos habitudes.
Exemples de solutions financières de rupture présentes au Québec
Et ce n’est que le début! Dans la province, où l’écoute demeure en deçà de celle de la moyenne canadienne, le marché de l’audio numérique affiche encore de belles opportunités de croissance.
Des innovations portées par les fintechs
Si les services financiers en ligne ont tant gagné en ampleur, c’est notamment grâce aux solutions de rupture portées par les jeunes entreprises. Une multitude d’acteurs révolutionnent le marché, proposant des alternatives 100 % dématérialisées et des frais de gestions réduits.
Alors que ces néo-banques fleurissent un peu partout dans le monde, chez nous le cadre règlementaire freine le développement du marché. Et pas qu’un peu : le Québec serait, à l’échelle de toute l’Amérique du Nord, la province dotée des régulations bancaires les plus strictes!
Les institutions bancaires bousculées
Forcées de suivre la cadence, les banques traditionnelles mettent elles aussi les bouchées doubles pour rester compétitives, notamment auprès des jeunes consommateurs. Investissements stratégiques dans l’intelligence artificielle, exploration de solutions utilisant la chaîne de blocs sont autant de pistes explorées.
Ça bouge du côté des grandes banques!
Certains vont même plus loin, à l’image de l’Américaine BNY Mellon, première banque mondiale à se lancer dans la gestion d’actifs en cryptomonnaies.
Bref, c’est toute l’industrie qui est en pleine ébullition!
